Une épopée fantastique et romantique au cœur des campagnes napoléoniennes
Thérèse Figueur, née royaliste, a grandi pendant la Révolution française. Le destin la fait rejoindre les rangs de la Grande Armée pour retrouver l'amour de sa vie, Clément, enrôlé comme petit tambour. De scènes de vie en batailles historiques, elle va montrer un visage combatif et passionné, capable de franchir des montagnes par amour. À tel point que ses prouesses feront d'elle la seule femme dragon de l'armée napoléonienne.
Après La Cuisine du diable, Damien Marie et Karl T. nous content une nouvelle histoire d'amour aux prises avec les tourments de l'Histoire, librement inspirée des campagnes militaires de Marie-Thérèse Figueur.
Dans ce tome 4, Valentine achève sa seconde. Notre ado assume enfin ses choix : elle refuse de s'enfermer dans une bande et porte un regard plus aiguisé sur la société : discrimination raciale, place de la femme... Cette nouvelle indépendance l'amène à publier un fanzine avec Yamina tout en encourageant Juliette et Melvin à une compétition de breakdance. Mais avec les garçons, c'est toujours compliqué : Félix ne reste qu'un « bon copain », tandis que Baptiste se lance dans une drague effrénée !
Un enfant soldat au Zap Collège ?!
Makar, un jeune garçon africain d'un pays en difficulté, est pris par mégarde pour un enfant soldat et récupéré par un organisme humanitaire. Étant muet, il ne parvient pas à expliquer sa situation et à leur faire comprendre qu'ils sont dans l'erreur. Ni une ni deux, le voilà envoyé tout droit... au Zap Collège ! Là-bas, Jean-Eudes, son nouveau copain, ne garde pas bien longtemps le secret des « origines » de Makar et la rumeur se propage vite parmi tous les comptes Twitter, façon téléphone arabe. Si bien que tout le monde se met à avoir peur de lui maintenant, y compris le principal, et à l'accuser de tous les problèmes du collège !Avec ce septième tome de Zap Collège, Téhem continue de trouver le ton juste pour s'adresser aux adolescents, en conjuguant toujours aussi habilement humour et questions plus profondes.
Quatre nouvelles aux tons variés composent ce recueil où l'on retrouve l'érotisme, l'élégance et l'humour très noir de Maruo Suehiro, ainsi que les obsessions pour le surréalisme ou l'expressionnisme allemand du maître de l'ero-guro. Seuls survivants d'un naufrage, un frère et une sœur échouent sur une île isolée ; la tentation de Saint-Antoine se rejoue à travers les malheurs d'un abbé bienveillant ; au soir de sa vie, un masseur aveugle et avaricieux cache sa fortune d'une étrange façon ; une jeune fille et son frère handicapé tentent de survivre sans ressources dans le Japon d'avant-guerre.
Après avoir adapté à plusieurs reprises l'œuvre de Ranpo Edogawa (L'Île panorama, La Chenille, Ranpo Panorama), Maruo poursuit son exploration d'œuvres majeures de la littérature japonaise moderne, en reprenant L'Enfer en bouteille, un des récits les plus célèbres de Kyûsaku Yumeno.
Alors qu'Elya et son frère Orian se lancent à la poursuite des ravisseurs de leur mère, Aka et le bébé fuient des mercenaires menés par des prêtres Kahons. De son côté, Allila, afin de sauver son frère, doit trahir son peuple. L'ombre du Dieu Lépreux flotte sur Asceltis depuis les limbes du domaine des dieux, mais l'esprit d'Albian veille toujours sur les siens...
Peut-on tomber amoureux d'un lieu ? C'est l'histoire que nous raconte Aurélia Aurita, apprentie reporter BD qui débarque un beau jour de mai dans un lycée pas comme les autres... Un lycée sans proviseur ni surveillants, autogéré par les professeurs et les élèves, où les décisions se prennent par vote à main levée et où il n'y a ni notes ni obligation d'assister aux cours... D'abord simple observatrice, Aurélia se fait peu à peu happer par ce lieu, fascinée par les personnages attachants qu'elle y rencontre. Au croisement du reportage et de l'autobiographie, cette bande dessinée nous fait vivre une expérience singulière et touchante.
Après Milady de Winter,Agnès Maupré revient sans contrefaçon avec l'incroyablehistoire de Charles de Beaumont, dit "Le Chevalier d'Eon",qui passa plus de 30 ans habillé en femme après avoir été espionsous la solde de Louis XV.
RÉSUMÉ:
Esprit fin, fine lame, le chevalier d'Eon est une icône de l'ambiguïté sexuelle et l'un des grands mystères de notre histoire. Les polémiques sur son sexe sont l'un des plus croustillants potins du XVIIIe siècle. Mais son histoire n'a de glamour que le commencement. Il a bien été l'espion androgyne aussi à l'aise en jupe qu'en uniforme de capitaine des Dragons, sillonnant la Russie et l'Angleterre pour le compte de Louis XV, mais son dévouement pour ce roi capricieux et peu sûr de lui, lui vaudra plus d'ennuis que de bonnes fortunes et le costume féminin sera pour lui une prison imposée par son roi qu'il devra porter de ses cinquante ans jusqu'à sa mort...Et tout cela n'est que résumé du destin fait de mystères et d'intrigues.
Par deux auteurs nouveaux venus chez Casterman, un portrait d'adolescence sensible et touchant, aux accents mélancoliques et universels.
À treize ans, Rosie vit une situation peu commune : ses deux parents durablement éloignés à l'étranger et ne s'occupant d'elle qu'épisodiquement, elle doit se débrouiller au quotidien presque entièrement seule. Son seul point d'ancrage est son amie d'enfance Nath, avec qui elle entretient une relation presque fusionnelle. Mais les amitiés sont aléatoires et fluctuantes à cet âge. Progressivement mise à distance par Nath, Rosie, de plus en plus isolée, se réfugie dans l'alcool et l'absentéisme scolaire. C'est dans ces circonstances, à la dérive, que l'adolescente fait la connaissance de Jo, un garçon à peine plus âgé qu'elle, qui comme elle habite seul, vivant d'expédients et de petits trafics. Jo, sensible à son côté rebelle, initie Rosie à la musique, à la débrouille et à l'esprit d'indépendance. Éclopés d'une existence qui commence à peine, les deux jeunes gens vont peu à peu laisser s'épanouir l'attirance qu'ils ressentent l'un pour l'autre. Une belle histoire d'amour qui se terminera sous une pluie glaciale et bouleversante...
À coup de presque riens, de petites touches impressionnistes tirées du quotidien en apparence le plus ordinaire, Fraipont et Bailly brossent un très touchant portrait d'adolescente. Le portrait d'une solitude aussi, pleine d'hésitations, de fêlures et d'incertitudes, qui résonnera comme une musique familière et mélancolique pour bien des lecteurs d'aujourd'hui.
2013 : Nalaxa est policière au poste de New Tsakane, à l'est de Johannesburg. Sur son bureau, des dossiers à trier et à classer. Parmi ceux-ci, l'un brûle les mains de la jeune femme : celui de Noxolo, une mère de 2 enfants, âgée de 24 ans qui fut violée puis battue à mort en 2011. Pourquoi ses tortionnaires n'ont-ils pas été identifiés et appréhendés ? N'y avait-il pas moyen de recueillir les indices nécessaires ? Et son orientation sexuelle ne serait-elle pas à l'origine du calvaire qui lui a été infligé, dans une Afrique du sud où le « redressement de lesbiennes » est une pratique sinistrement répandue ? Malgré les mises en garde de sa hiérarchie, Nalaxa ne peut s'empêcher de mettre son nez dans cette affaire. Elle contacte un groupe de défense des droits des homosexuels, EPOC...
Un petit goût de noisette à savourer. Dans ce recueil d'histoires courtes, Vanyda explore l'amour, évoque le moment parfait qui nous échappe parfois, les occasions manquées aussi... Usant des dialogues avec justesse et parcimonie, offrant à chaque tranche de vie sa couleur propre, Vanyda fait se croiser ses personnages. En quelques pages, en quelques jours, Benoît, Corentin, Manon, Aymeric et les autres se rencontrent, s'enthousiasment, pleurent. Un véritable condensé d'émotions pour ce nouveau one-shot !