Les vrais circonstances de la mort de Brian Jones, comment collectionner les reliques des Stones en faisant chier tout votre entourage. Quel rapport entre la bouche de Mick et l'orifice anal de Line Renaud ?
Avec la participation de : Berberian, Lindingre, Libon, Bouzard, Chauzy, Solé, Mo cdm, Margerin, etc...
Ce volume comprend les tomes 14-15-16-17 : La Horde du Corbeau, Les Troubadours de Roc-à-Pic, La Nuit des Sorciers et La Rose des Sables.
Thor, Iron Man et Captain America. Compagnons d'armes, protecteurs de la Terre, symboles vivants des valeurs que défendent les Vengeurs... C'était vrai jusqu'à hier. Aujourd'hui, nos trois héros se regardent avec méfiance et rancœur, tant les récents événements les ont divisés. Mais alors que le temps des aventures communes semble révolu, les trois Vengeurs se retrouvent face au plus grand défi de leur existence ! En plus : les origines des Vengeurs par Walter Simonson.
L'univers DC n'est pas toujours facile à explorer. Les aventures de ses héros ont été publiées en France avec moins de régularité que celles des personnages Marvel, et la continuité DC est assez complexe. Du coup, les deux tomes de DC Universe – Legacies (le deuxième sortira en octobre) seront fortement appréciés des nouveaux lecteurs comme des fans de comics, puisque Len Wein y récapitule les moments les plus importants de l'histoire DC. Ce tome nous emmène des origines des super-héros DC jusqu'à Crisis on Infinite Earths.
Dans son salon de thé, Sigfrido – l'Ours malais – sert à boire à tous ceux qui s'accoudent à son comptoir pour raconter leur vie.
« J'ai toujours aimé écouter les histoires des autres... – dit-il – aider dans la mesure de mes moyens les gens qui viennent ici, voilà la meilleure des thérapies pour moi, sans compter que c'est un divertissement édifiant qui m'aide à égrener mes journées avec le sourire. »
Le troquet de Sigfrido marche à merveille : sa clientèle se compose de soiffards fidèles et assidus comme Edgardo Moitiedhomme , mais aussi de nombreuses célébrités : Adam Kent, le super-héros, ou Caetano Crayon qui, avant l'accident qui l'a rendu aveugle, était le super-protecteur de la ville. Le secret de l'Ours malais est simple : « écouter... aider avec discrétion, proposer des infusions et des liqueurs avec son coeur, en pensant aux personnes qui vont les boire... il suffit d'observer le client pour lui proposer le breuvage qui... lui fera du bien, car les gens viennent dans cet établissement pour fuir leurs problèmes, chercher des réponses ou simplement et le plus souvent, parce que ils sont déboussolés. »
Car les clients de Sigfrido ont une chose en commun : ils sont tous torturés par leurs sentiments, poussés à bout par l'amour, la haine ou la peur. Héros habités par la rage, amants dévorés par la passion, hommes cassés ou confus, ils sont tous arrivés à un carrefour où ils ne savent pas bien quel chemin emprunter.
En douze histoires (où l'on retrouve souvent les mêmes personnages dans les mêmes lieux ) David Rubín dépeint la condition humaine avec intelligence et délicatesse. Ses personnages fragiles et attachants sont tous des héros déchus, des Prométhées des temps modernes : Rubín brosse leurs portraits avec une sensibilité qui parfois se mue en mélancolie. Il y juxtapose un graphisme élégant, dynamique, accompagné d'une maîtrise du rythme et de la composition remarquablement efficaces. Influencé par des auteurs tels Muñoz et Sampayo, Siqueiros, Toriyama, mais aussi Frank Miller, Kioke ou Miguelanxo Prado, Davíd Rubín a su synthétiser un style original qu'il affine sans relâche en s'affirmant comme un des auteurs le plus intéressants de la jeune génération espagnole.
Après les évènements du tome précédent, Portrait du Sorcier en Jeune Homme, le jeune Aloysius poursuit ses activités au sein de la Société de Lutte contre la sorcellerie, dirigée par William Crisp, le père d'Alice. Cette dernière est tiraillée par son attirance pour Aloysius et sa défiance envers sa pratique de la magie, qu'ils sont censés combattre.
Le récit et les péripéties conduiront le couple à Hillsborough, ville d'origine de la famille d'Aloysius, ainsi que tous les sorciers rencontrés par la Société. Alice y fera un choix lourd de conséquences.
De l’eau à perte de vue, un soleil qui brille et qui brûle, une ou deux barques, des rochers, une maison blanche, comme plantée là au milieu de nulle part. Des enfants qui jouent et qui pleurent, des adultes qui parlent et s’observent, tous ensemble pour un moment, un moment qui se voudrait idyllique. L’atmosphère, chauffée à blanc par un soleil implacable et omniprésent, devient vite irrespirable. La tension sourde qui parcourt et nourrit Barcazza de bout en bout, indissociable de l’astre qui la provoque autant qu’il la représente, enfle jusqu’au point de rupture, ce moment étrange où les certitudes se délitent et où les habitudes font place à la violence. Quand les couples qui hier s’entrelaçaient soudainement se déchirent.
Richard Junkin est un raté. Ancienne gloire universitaire de football, pathétique vendeur de voitures, amoureux de la fille de son boss, il n'a réussi qu'une chose dans sa vie : devenir accro au jeu. Embarqué dans la folie rebelle de cette fille qu'il est chargé de protéger de ses propres excès, Richard se perdra dans un monde qui n'est pas le sien : celui des hommes qui ont réussi.
Sarah et Adrian décident de se marier.
Jusque-là, rien d’anormal. Sauf que c’est le début des ennuis : il faut plaire à sa famille, à la belle famille, prendre des cours de danse, supporter des blagues potaches, éviter de s’étriper sur le nombre de petits fours, etc. Une série de vignettes amusantes dans laquelle Adrian Tomine capture avec talent ces petits riens qui font de la préparation d’un mariage un moment inoubliable.
Gladys aime Fabrice, qui aime Gladys, laquelle jamais ne le trompera. Elle en est sûre, et d'ailleurs Fabrice aussi, elle le lui répète suffisamment pour qu'il n'ait aucun doute là-dessus. Tout est parfait : une vie de couple harmonieuse, une fidélité en béton armé, un enfant charmant, un boulot pour chacun. Pourtant, Fabrice se dit parfois qu'un peu d'inattendu ne leur ferait pas de mal. Alors, pour pimenter leur vie de couple, il a une idée : lui qui est si velu, il va se raser la barbe, la tête, le torse, bref faire quelque chose d'un peu radical, pour surprendre Gladys. Et ça marche. Passé le premier mouvement de stupéfaction, elle est ravie. Un peu troublée, sans doute... Très troublée, en fait. Comme si cela avait réveillé en elle quelque chose d'enfoui qui, petit à petit, viendrait perturber sa ritournelle de l'amour conjugal...
Une comédie de mœurs contemporaines sur le couple. Que se passe-t-il lorsque l'inattendu s'invite au sein du couple le plus bardé de certitudes et de promesses de fidélité éternelle ?
Une chronique douce amère de Grégory Mardon qui interroge, avec une légèreté teintée de gravité, la résistance du couple aux assauts répétés du quotidien.