Il s'agit de la version couleur de l'album "La Vengeance du Chat" en 48 pages au lieu des 80 pages de la version bibliothèque.
Il s'agit de la version couleur de l'album "Le Quatrième Chat", en 48 pages au lieu des 80 pages de la version "bibliothèque".
Zorro de la prose, Geluck est le pape du non sens bien dit et du non dit bien senti. Il est le père d'un chat égocentrique, cartésien, philosophe de l'absurde et soliste de l'autodérision.
Version couleur de l'album "Le Chat au Congo", en 48 pages au lieu des 80 pages de la version Bibliothèque.
Le Chat, est un philosophe plein de bon sens, qui a du mal à appeler un chat un chat. Il est l'ennemi de la déprime et su sérieux, l'ennemi des souris et l'ami des jeux de mots qui sonnent comme des sentences. . Reprend en version couleur et en 48 pages, l'album éponyme paru en 80 pages en version "bibliothèque".
C'est à Malibu, haut lieu de la sémantique moderne, que part le matou confucéen. De la franche rigolade à l'émotion, en passant par le sourire, le rire jaune ou le fou rire, il entraîne le lecteur dans les recoins encore inexplorés de son esprit torturé.
Quand le Chat sort ses griffes, la raison en sort légèrement égratignée... Logique : ce matou philosophe, héritier des Monty Python et de Woody Allen, n'hésite pas à prendre les idées reçues à rebrousse-poil. Spécialiste des sentences pontifiantes et aphorismes absurdes, il distille au fil des pages des remarques pleines de bon sens qui frisent souvent le nonsense. D'après son auteur, l'humoriste belge Philippe Geluck, le Chat serait persuadé de proférer des vérités aussi importantes que Confucius, Descartes et Pascal avant lui. Ce n'est peut-être pas tout à fait faux. En tout cas, il les énonce avec beaucoup plus d'humour.
Cette bande dessinée est une véritable leçon de bon sens, révélée par un spécimen de la race féline. Sans oublié la touche d'humour et les dessins évocateurs signés par Philippe Gelluck.
Je suis quelqu'un d'assez souple, dans la vie, en général. J'veux dire, je m'adapte à peu près à toutes les situations. Mais dès qu'on essaie de me ranger dans des cases et de me coller des étiquettes, je suis trop nombreuses, on fait des crises de claustrophobie. C'est mauvais pour mon teint et en plus, après, je digère mal. Je veux bien être " Mère ", ça me va. " Illustratrice ", c'est cool. " Fiiiille ", ça me satisfait, de toute façon, si je devais faire pipi debout, j'arrêterais pas de saloper mes godasses. Mais je ne peux pas être que ça, tout le temps. Je veux être libre d'être toutes les femmes que j'ai envie d'être, même celles auxquelles j'ai pas encore pensé, même celle que je ne pensais pas vouloir être y'a cinq minutes. Et ça me semble évident que ça serait archi pas écologique tout le papier qu'il faudrait pour coller des étiquettes à toutes ces bonnes femmes... Donc autant nous laisser courir toutes nues dans les champs de pâquerettes.
Pour ceux qui connaissent Florence Cestac, chacun sait qu'elle est un concentré de gentillesse et d'humour, mais un humour cynique qui nous montre tous nos petits travers quotidiens.
Mme Clara Pèlerin a un gros problème : sa fille a disparu. Elle fait donc le choix de confier à Jack Palmer la délicate tâche de la retrouver. Le détective découvre que la fille de Mme Pèlerin a changé de nom et s'est convertie à l'islam le plus radical...