Un album de gags revisitant, à travers les déboires de Vanessa et de ses copines, les stéréotypes et les fantasmes sur les blondes.
Jehan de Metz, Jehanne et Louis quittent Jaulny pour Tiffauges afin de délivrer Bertrand de Polongy et mettre Gilles de Retz hors d'état de nuire. Ce dernier fond sur l'abbaye de GrandChamp, là où il sait trouver les plantes secrètes nécessaires à l'élixir de Prélati, le moine alchimiste. Pour le village jouxtant cette abbaye, c'est une nuit de terreur qui s'annonce. Chemin faisant, Jehanne et les siens sont attaqués par des routiers.Ils vont devoir faire appel à d'étranges capacités pour se défaire de ces brigands. Durant l'attaque, Louis trouve la mort et... plus encore. Sous l'influence de l'élixir, Polongy bascule dans un monde parallèle : Le territoire. Il y découvre le péril qui le guette. La révélation des anciens secrets et son sort personnel s'éclipsent devant un danger qui menace notre monde.
Terreur sur la ville !
Dans la petite ville d'El Dorado, les choses ne semblent pas se passer de façon très naturelle... Des créatures démoniaques ont fait alliance avec les notables pour s'emparer des lieux et contrôler ses habitants. Un groupe de collégiens va se trouver aux prises avec l'impensable...
Retrouvez tout le talent d'Humberto Ramos (Crimson, Spider-Man, Fairy Quest) dans une saga inédite en album qui voit une ville plonger en enfer. Il faudra tout le courage de quatre adolescents hors du commun pour déjouer cette menace.
Un récit culte enfin disponible !
Ôsaka, fin des années 1950.
De jeunes mangakas vont participer à la création d'un genre nouveau qui révolutionnera la bande dessinée japonaise : le gekiga.
En partie autobiographique, Gekiga Fanatics se concentre sur trois mangakas encore inconnus à l'époque : Yoshihiro Tatsumi – L'Enfer, Une Vie dans les marges (Cornélius), Takao Saitô – Golgo 13 (Glénat), ainsi que l'auteur lui-même, Masahiko Matsumoto – La Fille du bureau de tabac(Cambourakis).
Extrêmement documenté, le livre décrit avec justesse et précision les doutes et les difficultés qu'affrontent de jeunes auteurs exigeants et passionnés, qui refuseront toujours de renoncer à leurs rêves.
Le dico des super heros A comme Aquaman. B comme Batman, C comme Captain America. D comme Daredevil... Depuis soixante-quinze ans, les super-héros ont envahi l'imaginaire populaire et conquis tous les territoires, en Amérique, en France, en Europe, dans les librairies, les salles obscures et les consoles de jeux vidéo. Il est temps, aujourd'hui, de rendre hommage à cette population disparate et pourtant si reconnaissable, de justiciers aux costumes colorés et aux pouvoirs spectaculaires. Surhommes solaires, combattants nocturnes, super-patriotes et super- soldats, êtres de flammes et d'eau, défenseurs venus du futur ou du passé, aventuriers dimensionnels ou pirates de l'espace, et jusqu'aux parodies et aux animaux parlants, ils sont tous là. Provenant de la bouillante Amérique ou issus des traditions européennes, nés dans l'imaginaire atomique japonais ou dans le folklore des catcheurs mexicains, ils sont tous rassemblés dans ce dictionnaire des super-héros, qui rend compte de l'infinie variété du genre. Ils sont nés après l'apparition de Superman en 1938 ou avant l'arrivée du surhomme de Krypton sur Terre, certains dans les comic books et d'autres dans les feuilletons populaires européens. Mais, de Spider-Man au Nyctalope, de Wonder Woman à Diabolik, en passant par Doc Savage, Benoît Brisefer, Sailor Moon, Submerman, Zarga, Fantax, Blue Demon, Photonik, Mikros, L'Homme de l'Atlantide ou Super-Dupont, tous témoignent de la difficulté à définir le genre « super-héros », tant ses expressions et ses modèles sont divers. Ils brossent ensemble un portrait composite et inattendu d'une figure aujourd'hui au centre de l'imaginaire populaire et à la croisée des genres, le portrait robot d'un personnage que ce dictionnaire invite à redécouvrir dans toutes ses facettes : le super-héros !
Depuis peu fiancée à Guilhem, Maud, alias la Rose écarlate, n'a rien perdu de sa fougue, ni de ses convictions, toujours prête à défendre les opprimés. Côté bonnes manières, en revanche, la belle a quelques efforts à faire. En proie à une terrible crise de jalousie depuis l'arrivée d'Adèle, la justicière devra pourtant garder son sang froid afin de démasquer ce mystérieux fantôme tueur de jeunes femmes rousses...
"Les hommes qui n'aimaient pas les femmes", premier volet de la trilogie en 2 tomes de bande dessinée.
Un récit graphique basé sur une histoire vraie. Ce témoignage évoque l'histoire d'une séparation entre un homme et son fils adoptif. En novembre 2012, Bernard Valgaeren entamait une grève de la faim à Sanary sur Mer (83), installé sous une tente dans le kiosque à musique du petit port. Il protestait contre une décision du gouvernement qui lui refusait l'obtention d'un visa pour faire venir en France son fils adoptif du Burkina Faso, Jean-Eudes. Lors d'un séjour à Ouagadougou en 2003 pour aider à la construction d'un orphelinat, Bernard fait la rencontre d'un enfant qui lui demande : « Je veux que tu sois mon papa » (Jean-Eudes avait 7 ans). Bernard adopte le petit et tout semble aller bien du point de vue administratif jusqu'à ce qu'on trouve une faille dans le dossier : la monoparentalité de Bernard. Or, Bernard est gay : sans que ce ne soit jamais mentionné, on comprend que c'est là que se cache le motif du refus. La narration de Jean Eudes oscille entre le kiosque de Sanary et la rétrospection africaine, permettant au lecteur de naviguer entre l'actualité de la grève de la faim et l'historique des événements. Deux voix se succèdent, celle d'un premier narrateur (Jean-Marc, plus objectif) et celle de Bernard, directement impliqué dans le récit. Cette double voix complémentaire donne au récit toute sa richesse narrative.
Cinquante ans, la première coloscopie et l'envie soudaine d'acheter une Harley-Davidson. La vie est courte ! Mais devenir biker, ça ne s'improvise pas !
La bande dessinée apparaît avec la révolution industrielle, à l’aube du XIXe siècle. Art neuf, jeune, il se développe en même temps que les premiers soubresauts du monde moderne et accompagne les grands mouvements de population de l’histoire contemporaine. Depuis les premiers "funnies" américains du début du XXe siècle, dessinés, comme il se doit, par des migrants venus d’Europe, jusqu’au succès planétaire de Persépolis, oeuvre d’une jeune migrante fuyant l’Iran des mollahs, les rapports graphiques et narratifs entre la bande dessinée et le fait migratoire sont légions.
Sans doute parce que la bande dessinée, genre à l’origine sous-culturel qui a depuis acquis le statut de 9e art, est un art populaire par excellence. Et que, jusqu’à un passé très récent, il n’existait pas de voie toute tracée pour devenir auteur de BD. N’importe qui, pourvu qu’il ait un bon coup de crayon et un imaginaire à l’oeuvre, pouvait l’être ! Et particulièrement les immigrés, donc, soucieux à la fois de préserver leur mémoire mais aussi de s’intégrer.