En 2038, un million de personnes se trouvant dans le centre de Tokyo furent dépouillées de leur mémoire en un instant. La cause de cet horrible incident n’a jamais été déterminée et aucun remède n’a été trouvé. Afin de juguler toute panique et de gérer ce mystère, le gouvernement a construit une seconde ville, sous Tokyo, où les personnes affectés par ce mal étrange ont été parqués. Un nom a même été donné à ces victimes : les KID’z. Car, tels des enfants, ils doivent tout réapprendre, quel que soit leur âge. Si le mystère reste entier, les enquêteurs tentent toujours d’en trouver l’origine et la raison, d’autant qu’il semblerait que certaines personnes en savent plus qu’elles ne le prétendent.
Poursuivons la découverte du travail d’illustration de Eiichiro Oda, le créateur de la série la plus phénoménale de l’Histoire : One Piece.
Au-delà d’avoir créé une histoire fabuleuse, des personnages charismatiques et un monde foisonnant qui se sont arrachés à déjà 250 000 000 exemplaires sur le seul territoire japonais, Oda est également très apprécié pour une autre facette de son talent : son art de l’illustration.
À chaque nouvelle couverture, on s’extasie sur la composition et les poses qu’il fait prendre à ses héros ; avec ces deux nouveaux art books, on mesure encore plus la richesse de son univers et l’inépuisable capacité de cet auteur à évoquer une séquence à partir d’une seule image. Chaque illustration laisse ainsi à l’esprit du lecteur le soin d’imaginer une scène entière, ce qui s’est passé avant, ce qui se passera après.
Mais également, et à l’instar de son maître ès manga, Akira Toriyama, Oda excelle dans l’art de créer des illustrations « décalées » où l’auteur sort de son univers pour placer ses personnages en situations originales et inédites. Cela donne lieu à de savoureux contre- emplois où l’auteur jouit pleinement de la liberté qu’il s’est ainsi accordée.
Petite pépite supplémentaire, ces art books sont clos, comme de coutume, par une interview croisée de Oda et d’une grande personnalité du milieu du manga. Cette fois-ci, c'est au tour de Takashi Yanase (Anpanman), un autre monstre sacré de l’histoire du manga.
Minako a fort à faire pour déjouer les complots de la Dark Agency, cette organisation maléfique qui veut conquérir la Terre et vider les humains de leur énergie. Comme si ça ne suffisait pas, Sailor V doit à présent supporter la concurrence d'un autre justicier qui enflamme le cœur de toutes les filles : Ace, le mystérieux gentleman ! Il s'agit en fait du héros d'un feuilleton télévisé à la mode. Mais cet homme est-il simplement un acteur ou bien un allié potentiel ? À moins qu'il ne s'agisse d'un ennemi... Retrouvez la pétillante Minako dans le deuxième tome des aventures de Sailor V, toujours aussi survoltées !
Les familles de la mafia sont devenues les garants de l’ordre dans chaque région du pays à la place du gouvernement ! Mais la mafia reste la mafia. Pour éviter que certains membres ne provoquent le chaos, le gouvernement a mis en place les « Red Raven », des agents habilités à appliquer immédiatement et sans jugement une sentence de mort ! L’un d’eux, Andy, possède une arme expérimentale greffée à son œil et utilise une guillotine comme instrument d’exécution. Parallèlement, les « Red Raven » devront tout faire pour démanteler un trafic d’armes expérimentales appelées « Sccaggs ».
Époque Sengoku (1392-1573), au Japon, à l’âge des provinces en guerre. Raizô Katana, un adolescent de 15 ans, se voit rejeté partout où il passe à cause de la corne qu’il porte sur le crâne. Un appendice marque du démon aux yeux des gens ordinaires, qui traitent son porteur en paria. La vie de Raizô change le jour où il découvre, échouée près d’une rivière, une femme magnifique, qu’il soignera. Cette dernière, Kagari, se révélera être une kunoichi, une femme ninja, partie à la recherche d’un garçon… portant une corne sur la tête. Car Raizô, en réalité, est le dernier survivant d’un célèbre clan de puissants guerriers, recherché non seulement par Kagari qui désire le protéger, mais également par les soldats d’un clan adverse, qui veulent sa mort. Les choses se précipitent lorsqu’un groupe de ces derniers le retrouve, et tente de l’assassiner. Kagari révèle alors une technique de combat unique, le shingaitou, qui lui permet de décupler sa force et rend son corps plus solide que l’acier…
Ryô a avoué à Hakuô qu'elle l'aimait. Déstabilisé par cet aveu, Hakuô lui demande un temps de réflexion. S’il s’engage vis-à-vis de Ryô, sa position de futur dirigeant du groupe Kanzawa impliquera forcément des contraintes pour Ryô, ce qu’il refuse de lui imposer. Ryô ignore les raisons de l’hésitation de Hakuô mais a bien remarqué à quel point ses révélations l’ont embarrassé. Si son amour pour Hakuô n’est pas réciproque, elle préfère renoncer à lui définitivement...
Ayant pratiquement anéanti les 12 Pénitences, le groupe des six d’Ichimatsu affronte enfin DODO, de Shadow-Matter ! Devant la supériorité écrasante de ce dernier, alors que le conflit tourne rapidement au pire, Ichimatsu est envoyé dans le passé par sa marionnette D.O.G… Aux temps et lieu où il a été mené, trouvera-t-il la gloire ?!
Suite à ses précédents succès, Kucabara a pris la grosse tête. Sans trop réfléchir, il accepte un dossier assez délicat : défendre un jeune homme, Paul, accusé d'avoir assassiné une femme. Il n'y a qu'un hic : loin de proclamer son innocence, Paul avoue spontanément sa culpabilité ! Et le Shinigami qui s'oppose à Kucabara n'est autre que Sugal, le frère aîné de Ponzol, bien décidé à le venger et à s'amuser avec Kucabara, quitte à semer le chaos chez les humains. Kucabara parviendra-t-il à prouver l'innocence de son client ?!
A l'occasion des 10 ans de naruto, les T1 à 27 ont été réédités en 8 tomes grand format. Soit un peu plus de 3 volumes dans chaque tome ! Cette édition bénéficiera d'un tirage limité et unique Ces éditions seront augmentées de goodies dans tous les tomes.
Shuto Katsuragi est un garçon de 15 ans qui rêve de devenir un super-héros. Mais à cause de sa petite taille, personne ne prend son rêve au sérieux. Amadoué par la compréhension que lui montre une camarade de classe, Mirea, Shuto va se faire piéger. Enlevé, drogué et mis face à une situation de crise, Shuto signe un contrat pour utiliser un appareil qui lui permet de se transformer en super-héros. Ou du moins c’est ce qu’on lui a fait croire. Car en fait, il est devenu membre d’une association de malfaiteur, Jackal, en signant ce contrat et le « super-héros » qu’il est devenu n’est autre qu’un prototype de « Dark hero » nommé « RATMAN ». N’ayant pas d’autre choix que de suivre les ordres de sa supérieure, il se retrouve confronté à de « vrais » super-héros. Mais rapidement, Shuto va s’apercevoir que tous les héros n’exercent pas leurs métiers pour défendre la justice. Certains font cela par profit, considérant le métier comme du pur business. Doublement contrarié de faire à présent partie des « méchants » et d’apprendre que les héros ne sont pas tous conformes à son idéal, Shuto va tout faire pour rester fidèle à ses convictions : agir de manière désintéressée pour le bien d’autrui, selon des principes immuables de justice.